on l'a fait évaluer a l'hôpital, elle n'est pas en détresse (suicide). C'est le mot qu'elle a utiliser pour être certaine d'être bien entendu. Et qu'il y avait eu un suicide pas loin de chez-nous, donc ça la marqué.
Le spécialiste lui a dit très sérieusement qu'elle doit apprendre a gérer tout cela, prendre sa place ,aller chercher de l'aide. De pas crier au loup (celle-la j'ai moins aimé, mais j'ai peut-être pas saisit sa pensée. Car pour moi c'était pas tant "crier au loup" que ça) en disant qu'elle voulait ce suicider, que c'était grave. Que si elle dit ça a l'école ou autre qu'elle va revenir ici . Oui elle peut y pensé, surtout d'en parler.
Il m'a dit que c'est une petite fille heureuse, elle aime ses activités, l'école, a des amies a l'école (qui l'on consolé, ça elle me l'avait pas dit). Il m'a dit les signes qui peut nous faire levé le drapeau rouge; s'isole, mange moins, dort mal, plus d'intérêt aux activités et l'école, changement de caractère.
Moi je suis correct, versée quelque larmes au triage ( l’infirmier lui a prit sa pression, c'était haut et me dit " c'est une petite fille qui garde tout en dedans hen?" En plein dans le mille).
L'autre infirmier est venu nous donné une requête et a dit a ma fille que lui aussi en avait vécu de l'intimidation.
merci.